LA CONNEXION INVITE LA TRANSFORMATION

Nous sommes des êtres RELATIONNELS.

Lorsque nous cultivons le sentiment profond de sécurité intérieure, nous voyons les choix, les possibles.

Nos enfants se déploient lorsque cette connexion, au creux de cette profonde couverture relationnelle qui les enveloppe.

Dans le non-dit, dans l’énergie entre l’enfant et nous, tout est là.

Quand on se demande ce qu’on devrait faire devant telle ou telle situation difficile avec nos enfants, je comprends qu’on perde parfois le nord et qu’on rejoigne l’intensité du moment. Le beau c’est que ça ne nous définit pas.

En se PRATIQUANT à reconnaître certains signaux comme des manifestations de besoins profonds qui n’ont rien à voir avec la qualité humaine de notre enfant (ni de nous, parents) certaines réponses émergent. Souvent on se dit qu’on doit se fâcher ou corriger pour que l’enfant apprenne, que sinon l’autre choix est de ne rien faire, de laisser faire…

Il y a un chemin du milieu, remplis de possibles, de subtils, d’harmonisation à ce qui est présent dans le AS IS du moment.

C’est pour ça que les « méthodes » éducationnels, les systèmes de récompenses, les punitions, l’abandon ou les menaces ne font pas grand chose au bout du compte pour nous aider. Car ces méthodes n’ont pas la souplesse que requiert la situation unique du présent.

La connexion est ma « méthode » préférée. Elle est relationnelle. Elle est programmée dans notre biologie l’enfant est conçu pour s’attacher à nous. C’est son plus grand besoin primitif.

Et nous? On peut guérir et grandir dans cet espace de connexion et de liaison profonde avec notre enfant. Ça aussi, c’est dans notre

Demain midi, je vous jase bien humblement de la théorie polyvagale dans le contexte de la parentalité consciente dans le workshop L’art de la corégulation. De comment notre corps et le corps de notre enfant est programmé dès la naissance pour cela.

Elisabeth Simard